MA DISTINCTION
Présentation
« Ma distinction » : récit de vie d’un fils d’ouvrier devenu artiste.
Dans ce récit, Lilian Derruau relie son vécu de « gosse de prolo » aux idées du sociologue Pierre Bourdieu. Ne se contentant pas de raconter les souvenirs de cette prime enfance, il dépeint cette France ouvrière des années 70 dans un texte où truculence et autodérision vont de pair. Longtemps chanteur à tendance drôle sous le nom de Wally, on le retrouve ici dans un tout autre registre : le récit sociologique, mais à sa manière, celle qui suscite le rire avec une pointe de poésie et un paquet d’émotions.
Infos
De Lilian Derruau dit « Wally »
Genre : Récit
Public : Tout public à partir de 16 ans
Durée : 1 heure 20
Compagnie : Lot et Compagnie
Mise en scène : Jérôme Rouger
Interprète : Lilian Derruau dit « Wally »
Musique : Pascal Roux
Création lumière : Xavier Lefrançois
Production : Lot et Compagnie
Coproduction : Scène nationale d’Albi, L’Été de Vaour, Decazeville Communauté
Diffusion : Lot et Compagnie
Programmation
L'écho de Komidi
C’est le nouveau spectacle de l’ami Wally (qui était venu à Komidi en 2017 pour un spectacle avec Vincent Roca). Un récit. Bourdieu vu d’en-haut et Derruau Lilian (oui, c’est lui, Wally qui revient à son nom « d’avant le show-business ») and family vu des cités ouvrières de Viviez, Aveyron. Comme on l’a entendu à la sortie du spectacle : « criant de vérité ».
On ajouterait volontiers : élégant de justesse, poignant d’émotion, savourant d’humour (un humour tendre, affectueux, délicat), bref évident de force. Une sacrée distinction le Wally !
La Presse en Parle
« Wally nous livre un récit authentique, bouleversant d’humanité, qui touche tous les cœurs. »
CENTRE-PRESSE
« C’est un peu comme si vous rencontriez la langue de Pagnol, mêlée à celle de Cavanna avec un zeste de François Morel… »
CHANTER, C’EST LANCER DES BALLES
« La justesse tient à la précision des détails, sans jamais tomber dans le pathos ou la nostalgie. »
ACTU-LOT
« Avec autodérision, le comédien dit les inégalités sociales, la domination symbolique et le manque d’outils pour les reconnaître. »
LE JOURNAL DU CENTRE
« Le spectateur à un moment ou un autre finit toujours par se retrouver. »
LA DÉPÊCHE DU MIDI