“Der menschenfresser Berg – Oder die Besteigung, die Bjørg Schaffers Leben kostete – Ou La Montagne (titre provisoire)” raconte une quête : l’adaptation par une compagnie de théâtre de rue d’un film allemand des années 30 sur une expédition en haute montagne. Pour sa nouvelle création, la compagnie Les Vrais Majors vous emmène dans les coulisses d’une création théâtrale, oscillant entre fiction et réalité, de la scène épique d’un alpiniste au sommet d’une montagne, à la réalité crue du comédien qui a oublié son texte et son pantalon.

Avec toujours ces questions lancinantes : Est-ce bien judicieux ce titre en allemand ? Quel fromage utiliser dans la raclette ? Pourquoi Bjørg joue-t-il avec la mort ?

De Les Vrais Majors

Genre : Théâtre de rue / Comédie

Public : Tout public

Durée : 50 minutes

Compagnie : Les Vrais Majors

Mise en scène : Christophe Andral

Interprètes : Femke Platteau, Manu lepage, Alexis Jumélont, Quentin Lemenu

Scénographie : Christine Mobers et Alexis Héroult

Régie générale (version salle) : Benoît Lavalard

Production : Cie Les vrais Majors

Coproduction : Latitude 50 – Pôle des Arts du Cirque et de la Rue

Diffusion : Christine Willem-Dejean – MTP memap

Avec le soutien du Centre des Arts de la Rue,du C.C. du Brabant Wallon, C.C. d’Engis, de Cirqu’Conflex, d’Escale du Nord, de la Maison de la Création N–O–H, de La Roseraie, de La Vénérie, du C.C. Wolubilis, du C.C. Les Riches-Claires, du Club Alpin Belge, de Wallonie-Bruxelles International et de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse.

Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Administration Générale Culture, Service général de la Création artistique, Service du Cirque des Arts forains et des Arts de la Rue, de la COCOF.

La montagne, ou comment escalader comme seuls savent le faire les gens du plat pays (!) la frontière entre la réalité et la fiction, avec comme piolet l’absurde et comme crampons l’autodérision, sur l’étroite ligne de crête de la vie d’une troupe de théâtre qui monte un spectacle sur un film montagnard allemand des années 30, en oscillant entre ratages et mégalomanie. C’est léger, c’est drôle, c’est inventif, c’est surprenant, lallaouliiiiii !

« Avec “Der menschenfresser Berg oder die Besteigung die Bjørg Schaffers Leben kostete ou La Montagne (titre provisoire)”, on franchit encore une limite. »

MEDIAPART

« La montagne, une ascension savoureusement drôle. »

LA LIBRE BELGIQUE

« Spectacle aussi hilarant qu’inventif. »

LE SOIR BELGIQUE

« Une aventure épique et absurde. »

TÉLÉRAMA